Cela fait longtemps que je souhaite aborder ce sujet avec vous, pilier de la sagesse Toltèque : celui du parasite de l'esprit.
Comme je vous le dis souvent, les chamans du Mexique ancien maîtrisaient l'art de "voir" notre monde dans sa véritable nature : des faisceaux d'énergie. Ils ont vu notamment la "composition énergétique" d'un être humain. Et une partie de lui (qui ne lui appartient plus depuis des millénaires) n'est pas belle à voir. Les Toltèques la nomment "le parasite" ou "le planeur".
De leur point de vue, tous les humains de cette planète sont domestiqués et "malades" car un parasite contrôle leur esprit (et leur cerveau). Ce parasite se nourrit des émotions négatives issues de la peur et prospère grâce aux drames qu'il nous pousse à créer. Il nous donne sans arrêt des problématiques à résoudre et se nourrit de nos éclats de conscience (lorsqu'on trouve des solutions et des compréhensions).
La lignée de Don Miguel Ruiz (auteur des 4 Accords Toltèques) considère que ce parasite est constitué du système de croyances et du poison émotionnel de l'individu.
La lignée de Don Juan Matus (chaman enseignant de Carlos Castaneda) - dont je me sens plus proche - "voit" énergétiquement ce parasite qu'elle nomme "planeur" comme une véritable entité inorganique squattant l'esprit de l'humain.
Notre nature originelle nous confère un esprit solaire, impétueux, imprévisible, toujours en mouvement... et qui n'a pas de "moi". Les planeurs nous ont apporté une nature méfiante, défensive, répétitive, insatisfaite et égotique. Ils nous ont figés dans quelque chose que nous ne sommes pas.
Chaque être humain sait et ressent, au fond de lui, cette présence étrangère, mais personne - à cause de notre système de croyance - n'ose la remettre en question.
Pour savoir qui sont les planeurs et comment les vaincre pour devenir un esprit libre, vous saurez tout dans le livre de Carlos Castaneda Le Voyage Définitif, chapitre "les lourdes ombres noires" .
Audrey.